vendredi 31 octobre 2014

Catwoman conduit un vaisseau spacial


      Quand j'étais au collège et que je devais écrire des rédactions, j'avais toujours pleins d'idées alors je mettais le paquet dès le début, ça partait dans tout les sens, puis venait le moment où j'avais un peu la flemme d'écrire la fin.

Nolan c'est pareil, on sait tous qu'il a un peu de mal à finir ses films...
Il m'est arrivé un truc curieux dans ce film, j'avais tout le temps l'impression qu'on était dans le dernier quart d'heure du film, le quart d'heure crucial. Eh bien non, Nolan traite si bien le sujet de la fluctuation temporelle dans son film qu'il m'a perdu moi aussi. Je ne me suis jamais ennuyé (risque avec un film de 2h49) mais je croyais toujours que c'était la fin.
      Y'a tout dans ce film : du suspense/du prévisible, de l'humour/de la tristesse, de la tension/des longueurs, de l'émotion intense/du pétard mouillé, du génial technique à la Doc Emmett Brown/ du raccourci prend-moi-pour-un-con à la Luc Besson.

Bref je met 7 car le film est bien mais pas 8 car je ne le trouve pas abouti !
Quand je pense que les critiques US avaient reproché à Nolan de faire un film trop intello au moment de Batman 3, la ils vont même plus avoir de mots, on est passé des "Chtis" à "Bouillon de Culture"^^

vendredi 11 avril 2014

Carnet des rêves - Nouvel épisode

1.            C'était comme les princes de l'amour, 2 filles étaient là pour moi, une blonde aux yeux marrons avec un chemisier qui laissait voir son ventre assez plat. Je la trouvais fort jolie. J'hésite avant de m'asseoir avec elle sur le canapé car il y a une autre fille brune et je me dis qu'elle est peut-être encore plus jolie. C'est de courte durée car la blonde s'en aperçoit et je sens une inquiétude dans ses yeux, elle se relève et se met debout, je n'hésite plus et me relève. Elle fait la même taille que moi, super. Elle me plaît vraiment en fait. J'enfile une chemise rouge et un short en cuir, je me dis que c'est bizarre mais finalement ça me va bien.
2.            Je suis à nouveau devant les immeubles où j'ai grandi à Morsang, mais pas à Morsang, ailleurs. Je rentre et regarde par une fenêtre au carreau trouble si le concierge est là, personne. ça me rappelle quand je faisais ça étant petit. Finalement à force de regarder quelqu'un finit par sortir et me demande ce que je fabrique. Je m'explique en lui disant que j'ai grandi dans exactement le même immeuble et que je veux voir comment c'est devenu avec le temps. La concierge est intéressée et finalement me dit de venir avec elle. Elle tape un code devant une nouvelle porte et on accède à un tout nouveau 1er étage que je n'avais jamais vu. Elle explique à d'autres personnes ce que je fais. Des sortes de standardistes et syndic de propriété. Il y a aussi une espèce de salle de jeux. Elle m'emmène dans les caves de l'immeuble, je reconnais tout de suite pour y avoir joué quand j'étais petit. Sauf que là ça a été peint, voir floqué.  En blanc mais aussi en couleur, je ne saurais trop dire, comme si je voyais la synthèse soustractive du blanc. Puis on arrive à la fin de la cave et là il y a une porte qui donne sur l'extérieure, une grande porte vitrée. La concierge ouvre et on sort, tout le floquage blanc s'est transformé en neige. Je lui demande comment il peut y avoir autant de neige alors qu'il ne fait pas froid. Je regarde le haut de la rue, la neige s'accumule sur 2-3 mètres contre les batiments, en bas il y a une rivière qui coule, il fait soleil et des tables de café à l'angle. Je regarde tout les gens, ils n'ont pas l'air d'être de mon époque, quand je le dis à haute voix et que je demande à la concierge comment tout cela puisse être "stockée" à l'intérieur de l'immeuble, elle devient inquiète et change de forme. "Viens vite" me dit-elle en me prenant la main. Elle est maintenant habillée tout de blanc, une espèce de robe floconneuse elle aussi, ce n'est plus une concierge mais une passeuse-gardienne. Alors que je m'aperçois que je suis dans l'au-delà, un endroit où je ne devrais pas être, les gens se précipitent sur nous. J'agrippe fort la main de la passeuse et on passe la porte de justesse.
A nouveau dans la cave il y a des lianes qui pendent du plafond, ainsi que les tuyaux de chauffage. Il y a d'autres personnes. La passeuse est attirée vers le plafond et disparaît presque entièrement alors que je retiens son bras. Elle a commis une faute. C'est très dur de la retenir et de la tirer vers moi, je me rends compte que étant plus petit c'était déjà arrivée lorsque j'étais avec une copine. Mais nous n'avions pas eu la force de la retenir à l'époque. Aujourd'hui, c'est différent.
3.            Dans une chambre, dans le fouillis, une hermine mange un loir tout aplati. J'essaie de l'apprivoiser en lui donnant des pop-corn, elle ne s'enfuit pas à mon approche et les mange. Je me bats avec mon frère et ma sœur pour ne pas qu'il l'embête et essaie de lui donner de l'eau. Ma mère est dans une autre pièce avec un intellectuel, mon bureau se transforme en laissant apparaître pleins de vieux trucs.

4.            Je suis plus vieux. Je passe dans le monde alternatif, je me sens privilégié. A côté de moi une femme blonde qui a accompli quelque chose d'extraordinaire (c'est juste le ressenti que j'ai) Il pleut tout le temps dans ce monde normalement mais là quelque chose s'est produit qui a modifié ce fait. Donc il fait beau, et je regarde le soleil couchant. On s'avance sur un tapis dans une prison, là il pleut tout le temps (à l'intérieur du bâtiment) pour les punir. On propose à la femme de faire du saucisson, c'est un grand honneur, il serait très bon. Elle rigole mais dit que non. Dans mon monde, pleins de gens se précipitent, il va se passer quelque chose. Je suis dans un grand appartement avec du bois noir flotté. Je suis bien ici, je me dis que je pourrais rester. Il y a de l'eau au sol. Je dois prendre soin de quelque chose. Une fillette est assise sur un coussin puis elle vient avec moi.

lundi 30 décembre 2013

Quand il faut attraper le bus




Quand il y a la queue à la poste



Quand une fille a des gros seins




Quand ça a l'air très très bon




Quand ma mamie m'envoie 100 euros




Quand je t'ai à l'oeil




Quand la soirée dérape

mardi 10 avril 2012

Take me to your leader


The "Darkest hour"ou comment les ruskoffs sauvèrent le monde.


Les aliens au cinéma, c'est souvent la garantie d'une bonne barre de rire. Ou comment une civilisation qui a des siècles d'avance sur nous, voyage à travers l'espace-temps (forcément), dispose d'un bouclier invisible invulnérable et d'une attaque parfaite ( je vaporise tout ce que je veux sans effort) se fait finalement botter le cul au bout de 80min par 2 bouts de ficelles, un cintre, des cailloux et 3 poils de culs.

Remarque tu me diras y'a pire, voyons voir : piraté par Windows 95 (Independance day), éradiqué par la pluie (Signes), du shampooing (Evolution), les microbes du rhume (La guerre des mondes), les poings de Daniel Craig (Cowboys contre aliens), un ado, une bonasse et un camion (Transformers).
Et puis d'abord c'est quoi ces extras-terrestres sociopathes qui n'ont rien de mieux à faire que de traverser tout le cosmos pour nous foutre une raclée ? Comme si moi j'allais en Australie pour brûler une fourmilière.
Par contre ce qui est cool ici, c'est que ce sont les russes qui sont aux manettes, des types taillés à la hache, des vrais, pas des binoclards de ricains avec des théories fumeuses sur comment faire rendre gorge à un vilain alien. Eux c'est avec des bonnes balles russes et du lance-rocket de guérilla. Et si l'un d'entre eux est blessé, pas de plan larmoyant du style "laissez-moi les gars, sauvez votre peau !" non non, il se verse un peu de vodka sur son bras arraché et repars dare-dare au mastic.
Non mais.
Donc : bon film, très bons effets spéciaux, bien vu le coup des lampes c'est stylé, suédois improbable, du cliché en pagaille, une histoire basé sur un mode survival pas hyper original mais avec des rebondissements bien vus et la musique se défend bien aussi. Des sous-titrages pour apprécier la langue de Tolstoï et des E.T bêtes comme leurs pieds.
Ah faudra aussi m'expliquer comment l'ADN russe, s'il sert à fabriquer un individu femelle, donne forcément un top-model.


mardi 2 août 2011

La génétique de la plage

A la plage il y a plusieurs type de blonds :

- ceux qui sont méga-bronzés tout couleur caramel dès le 25 Mai, généralement les filles canons et les surfeurs (qui eux sont dehors toute l'année).

- ceux qui sont rouges homard parce qu'ils n'assument pas leur patrimoine génétique.

- ceux dont l'écran total est le meilleur ami, quitte à entendre une fois rentrée : "il a pas fait beau ?"

Et puis il y a moi, ni trop nordique ni trop latin, donc il me faut de la crème -et pas du monoï hein- en bonne couche. Je bronze bien et vite les 5 premiers jours et puis....plus rien. J'atteins ma pigmentation maximale en moins d'une semaine. En habitant au bord de la mer je passe pourtant toutes mes fin d'aprem dehors mais je m'assombris pas plus pour autant. Par contre je connais un phénomène de dépigmentation capillaire (comme si y'avait un tranfert ). Mes poils de bras sont blonds platine, ça amuse ma soeur...qui bronze.
Traîtresse.

jeudi 31 mars 2011

Sucker Punch

Après avoir vu le Frelon Vert et Tron, je m'étais dit que l'année commençait bien pour les films d'action au ciné (après un dernier semestre 2010 tout moisi). Et bien je n'avais encore rien vu.

Sucker Punch c'etait vraiment du lourd, certainement le film le plus abouti de Zack Snyder, une intrigue aussi bonne que Watchmen sans les personnages vides de sens, pas une goute de sang et une violence plutôt remplacée par euh....des tenues sexys.
J'avais été convaincu du talent d'Emily Browning lors des Orphelins Baudelaire (ado souriante et débrouillarde) et je la retrouve dans un rôle de femme enfant mi-tueuse au sang froid mi blonde fragile au bord du sacrifice.
Les 5 premières minutes commencent fort : pas de paroles, juste de la musique et une tension à couper au couteau uniquement rendue par le visage des acteurs.

Ensuite y'a tout les ingrédients du *film de mec* :
- des actrices plus-canon-tu-meurs
- des explosions de partout
- du flingue au kilomètre
- des douilles comme s'il en pleuvait
- des talons hauts règlementaires de 15cm
- des zombies tout pourris
- des robots
- un dragon géant
- des gros plan bouche & yeux
- des mandales de ouf, des coups de pieds que tu voles à 20m en explosant le mur
- du kung-fu
- une abscence totale de pantalons pour les protagonistes féminins (bein oui pour courir ça gêne !)

Bref je conseille ce film si vous avez aimé ce qu'a fait précédemment Zack Snyder (L'Armée des morts , 300, Watchmen) d'autant plus que le scénario est loin de tenir sur un coin de nappe et que l'intrigue psychologique est sur plusieurs niveaux (3) entremêlant les histoires.



mercredi 8 décembre 2010

Voyage en Suède : Underbart utseende i Stenåsa

Extrait du carnet de bord "Voyage en Scandinavie"

Nous étions à Stenåsa, sur l'ile d'Õland (c'est une ile à l'Est de Kalmar dans le sud de la Suède).

Dans « Le Merveilleux voyage de Nils Holgersson à travers la Suède » de Selma Lagerlöf, la légende dit que l’île était autrefois un papillon géant dont il ne resterait plus aujourd’hui que le corps étendu sur la mer.

Il y avait deux groupes : Joël et moi étions sur la plage et Thomas et Kevin allaient à la pêche aux infos dans une supérette-librairie.

Quelques temps après, les mecs ont débarqué sur la plage en nous disant :

- "eh les gars, veneeezzzz voir à la supérette".

Moi j'étais bien sur la plage et surtout je n’avais pas envie d'aller dans la supérette. On avait trop fait les magasins ces derniers temps.

- "arfff, fait chier"
- "nan mais allez vient j'te promet ça vaut le coup"

là je soupçonne un putain de piège, surtout que les mecs ont l'air tout excités, ils sont vraiment bizarres -les deux en même temps en plus-….

-"qu'est-ce qu'il y a ?"
-"allezzzzzzz vient !"

bon, je me lève, mais à contre cœur. Avant de pousser la porte, Thomas me dit avec un grand sourire et des étoiles dans les yeux : " on vient de voir la plus belle fille de Suède, la plus belle fille de notre voyage, elle est magnifique, j'te jure".

Me tournant vers Kevin : "tropppp bbbellle !" Il sautille sur place.

Ça y est, je sens trop le coup foireux des gars, ce comportement est trop exagéré pour être honnête et j'imagine direct une vieille bique ou un vieux tonneau, voir un grand moustachu.

- "Un niveau A ?"
-" uffff mieux que ça, j'te jure c'est extraordinaire"

Comme dans les jeux vidéos où les cartes à collectionner, les filles sont de manière objectives classées selon leur rareté dans les catégories suivantes : D, C, B, A, S, SS.
Il faut savoir que B c'est déjà suffisant pour moi, que c'est une bonne note et que A correspond aux 4 filles les plus canons de l'amphi.
S existe à la télé.
SS n'existe pas.

J'entre plein d'appréhension par rapport à ce que je vais découvrir.
Je sèche littéralement sur le palier.
Je me rapproche de la caisse, Thomas sort sa carte routière et pose une question.
Je me demande comment il fait, moi je suis incapable d’émettre un seul son et tous les fusibles des compartiments de mon cerveau sautent un à un.

Elle n’est pas seulement sublime de la tête au pied, elle est mirifique. Le charme féminin à l’état pur, une aura de douceur et de gentillesse qui vous enlace tendrement et le rayonnement d’une déesse descendue de l’Olympe.
Elle n’a pas besoin de former un sourire avec sa bouche pour qu’on ait l’impression qu’elle nous sourit.
Attention elle va parler.
Évidemment sa voix était merveilleuse, un son que vous voudriez garder et entendre pour toujours. Je pourrais mourir sur une phrase de cette voix comme le font les héros dans les films dramatiques.
Elle bouge le doigt sur la carte de Thomas, en longeant la côte de l'île.
Je regarde sa main qui est douce, gracile, légère, tout en essayant d’enregistrer sa voix.
Elle parlait mais je ne l’écoutais pas, je ne pouvais que l’entendre car l’admirer était déjà trop prenant pour mon cerveau.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin et que la belle allait finir par s’apercevoir qu’elle parlait à des zombies, on a dit « thank you very much, tack mycket », y’a eu un blanc, elle nous a souris, et puis on est sortis.

Thomas : « Une fille comme ça, si elle se déshabille devant toi, tu fais une syncope ».
Moi il fallait que je m’asseye et c’est ce que j’ai fait. Je me suis assis sur une grosse pierre rouge. Il fallait que je digère tout ça.
On a rigolé en pensant à Naruto, du sang qui nous jailli du nez avant que l’on tombe dans les pommes.
Joël : « bah dis donc »
Kevin : « woufff.. »

On avait tous les quatre des goûts très différents en matière de filles, en temps normal on ne risquait vraiment pas de se marcher sur les pieds mais avec Elle c’était différent, nous étions tous unis sous la même bannière, celle d’Emma la fille viking-libraire.

camping de Stenåsa


la supérette

lundi 1 novembre 2010

Too much models on TV

*watching MTV*

_"It must be good to be fit and brawny"

He says, while taking an other biscuit.

mardi 5 octobre 2010

Shaguaman

Je n'ai ni été piqué par une araignée mutante ni été frappé par la foudre mais j'ai moi aussi un super-pouvoir.....ouais, et c'est celui de choisir les melons. Jamais je me trompe, ils sont toujours bien sucrés et bien juteux.

NB : Shagua en chinois est le mot pour donner une idée de "cucurbitacée"

mardi 21 septembre 2010

The U.S Custom Agent vs Me

Passer la frontière américaine, que ce soit par les terres ou par les airs, est une expérience globalement désagréable. A l'instant où vous voyez les drapeaux américains en pagaille, c'est un peu comme quand vous avez rendez-vous chez le dentiste pour une carie et que vous passez la porte d'entrée. Ou alors comme au lycée avant les interos de math, ces minutes passées dans le couloir à attendre le prof où vous savez que le mur d'ennui et d'incompréhension que vous venez de construire durant le mois de cours écoulé, vous allez le prendre en pleine face.
Et bien passer la porte du bureau des douanes américaines, c'est pareil. Après 30-40 minutes d'attente vous attends un officier de police des douanes gros et gras, comme dans les films. L'oeil lourd et fatigué, il vous scrute vous toise. Là vous faîtes tout votre possible pour avoir l'air non-suspect donc vous devenez tout raide et donc suspect.
- Passeport :
A partir de là toutes les questions de la création sont imaginables et vous essayez de répondre ce que l'agent à envie d'entendre. Sauf que sur des questions imprévues cela implique forcément un micro-délai de réflexion, une voix bizarre et des réponses bancales.
 Bref, vous vous sentez coupables alors que vous savez en même temps que vous avez rien fait, une contradiction qui met votre esprit à rude épreuve.
Après avoir rempli une fiche très longue où il faut mettre plusieurs fois la même chose et préciser que vous n'amener pas tout un tas de choses aux Etats-Unis (des graines ou de la terre) vient le moment du jugement.

Officier gros lard décide de si je vais avoir le suprême honneur de respirer l'air des USA, de poser mon indigne pied sur sa patrie.
Moi, pauvre gueux, je souris.
_ Do you have american dollars ?
_ (??????) yes
Il me rend mon passeport et m'envoie vers un bureau où m'attend un pur moment de masochisme : je vais payer 6 $ pour avoir attendu 1 heure dans le hall et remercier agent gros-lard de sa mansuétude. Un comble.

Une fois revenu dans le bus, ouf ! on se sent tout léger, comme après une intero de math ou une carie soignée.




lundi 23 août 2010

Inception / Le totem

Ce soir je suis allé voir Inception que j'ai trouvé excellent, au final DiCaprio joue toujours dans des bons films.
ça m'a rappelé que étant petit, vers 7 ou 8 ans, je m'étais dit que peut-être j'étais un train de rêver ma vie, que chaque jour n'en était pas vraiment un et que si ça se trouve j'avais toujours 6 ans et que je dormais profondément dans mon lit mezzanine. Mes parents se demanderait pourquoi je dors ainsi depuis sans doute beaucoup de jours sans me réveiller.

certaines choses sont marrantes quand je rêve :
  • si je m'aperçois que je rêve, alors je peux prendre plus ou moins le contrôle de celui-ci; faire des choses irréalisables, glisser vers une autre séquence quand ça ne va pas, ou bien revenir en arrière en étant une autre personne et modifier la fin de mon rêve.
  • les bords sont flous
  • effectivement je me réveille si je meurs
  • effectivement -et par je ne sais quel tour de force- mon cerveau crée en même tant qu'il découvre. Ce qui n'est pas logique vu que ce que je viens de créer ne devrais pas m'etre inconnu. Par exemple je lis un papier dont je n'ai aucune idée du contenu. Mon cerveau invente le texte, mais j'ai l'impression de le découvrir quand même. La série, je découvre des couvertures de magazines, je vois des films et je visite des villes où je ne suis jamais allé.
Reste le cas mystérieux d'Edimbourg où la ville réelle , après que j'ai regardé des photos sur Internet, ressemble bien à celle que j'ai rêvé alors que n'y suis jamais allé et que je n'avais vu ni photos, ni reportage montrant le centre-ville.
Faudra qu'on m'explique.


PS : Je soupçonne la choupinette Ellen Page d'être un vampire, ça fait 4 ans qu'elle a l'air d'avoir 13 ans alors qu'elle en a maintenant 23...... >_>





vendredi 13 août 2010

Du gras en veux tu en voila

La bouffe est pas meilleure au Canada qu'aux Etats-Unis, elle est juste 3 fois plus chère....
J'ai fait une repas infâme pour 17$ !