1. C'était
comme les princes de l'amour, 2 filles étaient là pour moi, une blonde aux yeux
marrons avec un chemisier qui laissait voir son ventre assez plat. Je la
trouvais fort jolie. J'hésite avant de m'asseoir avec elle sur le canapé car il
y a une autre fille brune et je me dis qu'elle est peut-être encore plus jolie.
C'est de courte durée car la blonde s'en aperçoit et je sens une inquiétude
dans ses yeux, elle se relève et se met debout, je n'hésite plus et me relève.
Elle fait la même taille que moi, super. Elle me plaît vraiment en fait.
J'enfile une chemise rouge et un short en cuir, je me dis que c'est bizarre
mais finalement ça me va bien.
2. Je
suis à nouveau devant les immeubles où j'ai grandi à Morsang, mais pas à
Morsang, ailleurs. Je rentre et regarde par une fenêtre au carreau trouble si
le concierge est là, personne. ça me rappelle quand je faisais ça étant petit.
Finalement à force de regarder quelqu'un finit par sortir et me demande ce que
je fabrique. Je m'explique en lui disant que j'ai grandi dans exactement le
même immeuble et que je veux voir comment c'est devenu avec le temps. La
concierge est intéressée et finalement me dit de venir avec elle. Elle tape un
code devant une nouvelle porte et on accède à un tout nouveau 1er étage que je
n'avais jamais vu. Elle explique à d'autres personnes ce que je fais. Des
sortes de standardistes et syndic de propriété. Il y a aussi une espèce de
salle de jeux. Elle m'emmène dans les caves de l'immeuble, je reconnais tout de
suite pour y avoir joué quand j'étais petit. Sauf que là ça a été peint, voir
floqué. En blanc mais aussi en couleur,
je ne saurais trop dire, comme si je voyais la synthèse soustractive du blanc.
Puis on arrive à la fin de la cave et là il y a une porte qui donne sur
l'extérieure, une grande porte vitrée. La concierge ouvre et on sort, tout le
floquage blanc s'est transformé en neige. Je lui demande comment il peut y
avoir autant de neige alors qu'il ne fait pas froid. Je regarde le haut de la
rue, la neige s'accumule sur 2-3 mètres contre les batiments, en bas il y a une
rivière qui coule, il fait soleil et des tables de café à l'angle. Je regarde
tout les gens, ils n'ont pas l'air d'être de mon époque, quand je le dis à
haute voix et que je demande à la concierge comment tout cela puisse être
"stockée" à l'intérieur de l'immeuble, elle devient inquiète et
change de forme. "Viens vite" me dit-elle en me prenant la main. Elle
est maintenant habillée tout de blanc, une espèce de robe floconneuse elle aussi,
ce n'est plus une concierge mais une passeuse-gardienne. Alors que je
m'aperçois que je suis dans l'au-delà, un endroit où je ne devrais pas être,
les gens se précipitent sur nous. J'agrippe fort la main de la passeuse et on
passe la porte de justesse.
A nouveau dans la cave il y a des lianes qui
pendent du plafond, ainsi que les tuyaux de chauffage. Il y a d'autres
personnes. La passeuse est attirée vers le plafond et disparaît presque
entièrement alors que je retiens son bras. Elle a commis une faute. C'est très
dur de la retenir et de la tirer vers moi, je me rends compte que étant plus
petit c'était déjà arrivée lorsque j'étais avec une copine. Mais nous n'avions
pas eu la force de la retenir à l'époque. Aujourd'hui, c'est différent.
3. Dans
une chambre, dans le fouillis, une hermine mange un loir tout aplati. J'essaie
de l'apprivoiser en lui donnant des pop-corn, elle ne s'enfuit pas à mon
approche et les mange. Je me bats avec mon frère et ma sœur pour ne pas qu'il
l'embête et essaie de lui donner de l'eau. Ma mère est dans une autre pièce
avec un intellectuel, mon bureau se transforme en laissant apparaître pleins de
vieux trucs.
4. Je
suis plus vieux. Je passe dans le monde alternatif, je me sens privilégié. A
côté de moi une femme blonde qui a accompli quelque chose d'extraordinaire
(c'est juste le ressenti que j'ai) Il pleut tout le temps dans ce monde
normalement mais là quelque chose s'est produit qui a modifié ce fait. Donc il
fait beau, et je regarde le soleil couchant. On s'avance sur un tapis dans une
prison, là il pleut tout le temps (à l'intérieur du bâtiment) pour les punir.
On propose à la femme de faire du saucisson, c'est un grand honneur, il serait
très bon. Elle rigole mais dit que non. Dans mon monde, pleins de gens se
précipitent, il va se passer quelque chose. Je suis dans un grand appartement
avec du bois noir flotté. Je suis bien ici, je me dis que je pourrais rester.
Il y a de l'eau au sol. Je dois prendre soin de quelque chose. Une fillette est
assise sur un coussin puis elle vient avec moi.